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Réinventer notre alimentation pour préserver l’océan

Ça, c’est la mission de Blutopia. C’est ce qui nous anime depuis que l’on a compris que nos choix alimentaires pouvaient détruire l’océan… ou le préserver.

Comment tout a commencé pour Blutopia

Blutopia, c’est d’abord notre histoire, celle d’un couple amoureux de l’océan. Malaury, originaire de La Rochelle, passionnée de surf et de plongée sous-marine, diplômée de l’ESCP Business School option Entrepreneuriat. Julien, ancien nageur de haut-niveau et instructeur de plongée sous-marine, déjà à la retraite. L’océan est notre terrain de jeu. Plus on y passait du temps, plus on l’aimait. Pourtant, pendant longtemps, on ne faisait rien pour le préserver. C’est en regardant des films documentaires comme A Plastic Ocean et Cowspiracy que l’on a commencé à prendre conscience de l’ampleur des dégâts.

On a pris la décision de changer nos habitudes de vie presque du jour au lendemain : on a commencé par s’engager dans une démarche zéro déchet et on a adopté un régime végétalien, c’est-à-dire qu’on a arrêté de manger des produits d’origine animale. Mais très vite, on a réalisé qu’on ne changerait pas le monde si on restait dans notre coin, avec nos petits gestes. On a eu envie d’embarquer plus de personnes à nos côtés. On était en 2018 et on avait déjà un rêve en commun : celui de se rapprocher au plus près de l’utopie d’un océan sans pollution. C’est à ce moment-là que Blutopia a vu le jour.

Les ramassages de déchets ne sauveront pas l’océan, mais le contenu de notre assiette oui.

De la pollution plastique à l’alimentation

Pour préserver l’océan, il y a plein de leviers d’action : les déchets, l’alimentation, les transports, l’énergie, la finance… On ne pouvait pas tout traiter en même temps, et lorsqu’il a fallu choisir notre combat, on n’a pas hésité une seule seconde : on s’attaquerait à la pollution plastique. Quand on allait surfer, plonger ou simplement se balader près de l’océan, on voyait de plus en plus de plastiques. À l’époque, on était persuadé·e·s que c’était là-dessus qu’il fallait se concentrer. En réalité, il y avait des leviers d’action moins visibles, mais bien plus puissants.

Et c’est en grande partie grâce à l’IPBES que l’on s’en est rendu·e·s compte. Il s’agit de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques. Selon leurs expert·e·s, les 5 plus grandes menaces qui pèsent sur la biodiversité marine sont, par ordre d’importance : la surexploitation des ressources, la destruction des habitats, le changement climatique, les pollutions et les espèces invasives. Toutes sont directement ou indirectement liées à notre alimentation. Si l’on veut préserver l’océan, ça commence donc dans notre assiette.

« Pour préserver l’océan, il suffit de réduire nos déchets. »

Peut-être comme vous, c’est ce que l’on croyait avant. Mais en réalité, ce n’est pas si simple. Vous voulez mieux comprendre pourquoi on a décidé de se concentrer sur l’alimentation et de mettre de côté la pollution plastique ? On vous raconte tout dans l’épisode 1 de notre podcast ondine.

Le futur est dans notre assiette.